◾En dépit de la hausse de la criminalité, la plupart des crimes et délits sont minimisés, tant par les autorités allemandes que par les médias, sans doute pour ne pas alimenter le ressentiment général envers les immigrés.
◾« La police ne souhaite pas stigmatiser la population ; elle préfère l’éduquer. L’impression qu’une censure est à l’œuvre dévaste la confiance de la population envers les forces de l’ordre. Obtenir des informations sur d’éventuels suspects est important pour développer des stratégies de prévention. Il faudrait pouvoir parler ouvertement des problèmes dans ce pays ». — Arnold Pilckert, directeur du syndicat de police GdP (Gewerkschaft der Polizei) de Rhénanie du nord-Westphalie.
◾« Le Conseil de la presse allemande estime que chaque rédaction doit traiter ses lecteurs comme des enfants, en confisquant l’information utile. Ce comportement est d’autant plus erroné que les lecteurs comprennent qu’une stratégie de dissimulation est à l’œuvre. Ils perdent confiance. Et cette méfiance est une catastrophe ». — Tanit Koch, rédacteur en chef de Bild, journal le plus vendu en Allemagne.
◾Le 24 octobre, un sondage Yougov a révélé que 68% des Allemands pensent que la sécurité du pays s’est détériorée au cours des deux ou trois dernières années. De plus, 68% des personnes interrogées, a affirmé craindre pour sa vie et ses biens dans les trains et les métros, et 63% disent se sentir en insécurité dans les grands rassemblements publics.
Lire la suite : https://fr.gatestoneinstitute.org/9212/migrants-viols-allemagne